Petit cafée du matin (libre)

Admin Nombre de messages : 38 Age : 37 Date d'inscription : 21/04/2008

La jeune femme c'était lever de bonheur, elle devait aller aux bureaux du journal, mais elle voulait tout d'abord passer à China Town pour aller au Delights Coffe, pour prendre un bon petit déjeuner, elle pris une douche, se changea et mit un charmant petit tailleur bleu, puis elle ce maquilla et se coiffa. Lorsqu'elle eu fini, elle prit ses affaires, avec sa mallette qui contenait ses papiers, car elle devait réembaucher de nouveau journalistes, elle prit ensuite ses clefs.

Elle sortit de son appartement en mettant au passage son manteau sur son bras rapidement. Elle ferma sa porte à double tours. Elle descendit à sa voiture et elle se gara à China Town, lorsqu'elle fut arriver, elle trouva une place à quelques mettre du café. Elle descendit de sa voiture, la ferma. Elle prit un magasine avant de rentré dans le café! Elle regarda autour d'elle, alors qu'il y avait déjà beaucoup de monde, elle trouva tout de même une table seul, elle s'y assit et demanda un café noir avec du sucre et si elle pouvait un œuf sur le plat, avec des pankakes! Elle ouvrit son magasine et lut les premières pages attentivement, elle pensait s'en doute revoir la présentation et la première page du journal! Tout dépendrait des personnes qu'elle devait voir dans la journée!

Elle ne savait pas encore combien de journalistes, elle allait reprendre. Cette question restait un grand mystère pour elle et ça lui faisait un peu peur! Mais elle savait que ses parents adoptifs seraient là pour la soutenir, si elle n'arrivait pas à s'en sortir financièrement! Même si elle ne voulait pas leurs demander d'argent! Elle tenterait donc de s'en sortir au mieux! Tout le raffut qui était derrière elle ne l'atteignait pas, car elle était tellement plonger dans ses pensés que rien n'aurait put l'atteindre à cette heure, sauf si on la secouait et encore ce n'était même pas sur qu'elle se réveil.

Ce matin là quand son réveil la tira de son sommeil, Elanore grogna quelques mots incompréhensible, envoya valser l’appareil de malheur et mit ses couvertures par-dessus sa tête. Elle n’avait qu’une envie qu’on la laisse dormir… Encore un peu. Mais si elle se laissait allé, elle savait déjà qu’elle n’émergerait à nouveau qu’en milieu de journée si pas beaucoup plus tard… Voilà ce qui arrivait quand on passait sa nuit à taper des textes sur son ordi sans faire attention à l’heure qui tournait. Se faisant violence, elle repoussa ses couvertures et se leva encore un peu au radar.
Elle se traina comme elle put jusqu’à sa salle de bain où elle prit une bonne douche, assez fraiche pour achever de la faire revenir parmi les conscients.
Elle n’était pas bien motivée pour aller en cours mais elle ne se prenait pas la tête à jongler avec son emploi du temps de la fac, son travail de vendeuse et ses rêves d’écriture pour que ça ne mène à rien. Elle devait aller à l’Université, ça ne l’enchantait pas mais elle n’avait pas le choix. Elle ne pouvait pas se permettre de faire n’importe quoi. Si elle n’arrivait pas à maintenir tout ce qu’elle faisait, elle finirait par ne plus payer les factures et elle perdrait l’appartement que lui avait laissé sa tante. Cette simple idée lui était insupportable !

Pour se donner un peu de courage, elle décida de faire un détour par le Delights Coffee, histoire de s’offrir le meilleur café de China Town avant de devoir assurer une matinée de cours et un après midi de travail… C’était important de bien commencer la journée.
Elle s’y rendit à pieds, le nez plongé dans un livre de cours. Elle faisait ce trajet tout les jours, elle n’avait pas besoin de regarder où elle allait. Elle ne levait la tête que lorsque qu’elle arrivait à un carrefour pour vérifier qu’il n’y avait pas de voiture succeptible de lui rentrer dedans.

Quand elle entra dans le café, elle ne prit pas la peine de regarder où elle allait car elle était en train de lire un passage vraiment très intéressant et elle se prit le pied dans une chaise. Ses chaussures ouvertes ne la protégeant pas le moins du monde, elle poussa un juron en italien sous le coup de la douleur.
Ce n’est qu’après coup, qu’elle se rendit compte qu’il y’avait quelqu’un sur ladite chaise.

« Je suis vraiment navrée, je ne regardais pas où j’allais. » s’excusa-t-elle.

*Allez, ça commence bien ! De bon matin je me casse un orteil… Il est pas cassé ! J’espère…*